L’AUBRAC au joli mai (1)
Oh ! La splendeur de la Primavera sous ces étendues lentes, taiseuses, souvent encore fondues dans les nuées mouvantes !

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Photographe Voyageur
Oh ! La splendeur de la Primavera sous ces étendues lentes, taiseuses, souvent encore fondues dans les nuées mouvantes !
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Voici les orchis sureau, les premiers, jaunes ou pourpres, les pensées jaunes et violettes (déjà précédés, ici comme partout, des primevères, hérauts légitimes et incontestés de la primavera)
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Si l’Aubrac impose à nos yeux et à notre esprit une extraordinaire simplification des lignes, on ne peut manquer d’être impressionné par le silence minéral assourdissant des blocs qui hérissent le plateau en nombre considérable, formes innombrables qui déconstruisent / enrichissent ? l’abstraction et la netteté des lignes et… interpellent sur la genèse tourmentée de la planète Aubrac.
En effet, le Feu et la Glace bien avant les humains ont façonné sans relâche ces paysages.
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Et la marque du Feu, et la trace des Volcans ?
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Si le roc, le minéral puissant, jailli du Feu des volcans, raboté et charrié par la Glace est omnipesant et tenace sur l’Aubrac, ruines titanesques, écloses d’un printemps tellurique hallucinant, le voyage en Aubrac révèle en tous lieux la présence, la mémoire, la célébration de l’EAU dans ses murmures ou ses jaillissements.
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