» Les Rythmes et les Jours sur les rives du FLEUVE «
Centre Culturel Français de NOUAKHCHOTT (MAURITANIE) du 4 au 29 mars 1984
Saint-Louis-Blues-CC-BY-NC-Jacques-BOUBY
Intérieur-Saint-Louis-CC BY-NC Jacques BOUBY
Quartier de Guet-Ndar,-saint-Louis-CC BY-NC Jacques BOUBY
Pont Faidherbe, Saint Louis-CC-BY-NC-Jacques-BOUBY
Pont Faidherbe, Saint Louis-CC-BY-NC-Jacques-BOUBY
Cimetière-des-pêcheurs,-Guet-Ndar,-saint-Louis-Expo DAKAR 1981-CC BY-NC Jacques BOUBY
Langue-de-Barbarie-(Saint-Louis)-CC BY-NC Jacques BOUBY
Rive côté Trarza-CC BY-NC Jacques BOUBY
Solitude au crépuscule-CC BY-NC Jacques BOUBY
Femme-Peuhl-à-l’enfant-Expo DAKAR 1981-CC BY-NC Jacques BOUBY
La-Grande-Royale-CC BY-NC Jacques BOUBY
Digues vers Boundoum Barrage-CC BY-NC Jacques BOUBY
La-Digue vers Boudoum-CC BY-NC Jacques BOUBY
Pélicans-Djoudj-CC BY-NC Jacques BOUBY
Bruits d’ailes au Djoudj-CC BY-NC Jacques BOUBY
Pelicans au décollage, Djoudj
Groupe-de-Talibés-CC BY-NC Jacques BOUBY
Talibé-CC BY-NC Jacques BOUBY
Marabout écrivant une sourate sur la tablette coranique-CC BY-NC Jacques BOUBY
Amadi Ounaré
Madonna à l’enfant, Amadi Ounaré
Ile-à-Morfil-CC BY-NC Jacques BOUBY
Maison en banco-dans-le-Fouta-Toro-CC BY-NC Jacques BOUBY
Transparences-en-gris-mineur-(3)-CC BY-NC Jacques BOUBY
Habitat-vers-Waoundé-CC BY-NC Jacques BOUBY
Visage et coiffure femme Peuhl-CC BY-NC Jacques BOUBY
Toumany Traoré, Maître Sousverreur
Hiéroglyphes
Retour au village-CC BY-NC Jacques BOUBY
Pêche à l’épervier-CC BY-NC Jacques BOUBY
Dembankané
Troupeaux à l’abreuvoir-Expo FLEUVE NKT 1984-CC BY-NC Jacques BOUBY
Forêt de cornes
Couchant à Bakel-CC BY-NC Jacques BOUBY
Graphismes-CC BY-NC Jacques BOUBY
Pirogues à Bakel-CC BY-NC Jacques BOUBY
Matin à Thiewlé-CC BY-NC Jacques BOUBY
Construction Hôpital Kaédi, ADAOUA-CC BY-NC Jacques BOUBY
Hôpital Kaédi, ADAOUA-CC BY-NC Jacques BOUBY
Scène au puits
Bambado peuhl au Riiti
Toilette matinale dans le fleuve-CC BY-NC Jacques BOUBY
Hutte de pasteurs Peul
Poteries-ombres-CC BY-NC Jacques BOUBY
Docteur de montres à Dagana-CC BY-NC Jacques BOUBY
Pasteur
Pasteur
Habitat en banco-vers-Waoundé-CC BY-NC Jacques BOUBY
Mosquée en banco-Expo FLEUVE NKT 1984-CC BY-NC Jacques BOUBY
Maison décorée à Amadi Ounaré
Graphisme, clôtures-CC BY-NC Jacques BOUBY
Troupeaux dans le Diéri
L’abreuvoir-CC BY-NC Jacques BOUBY
Enfants parmi les baobabs du chacal-CC BY-NC Jacques BOUBY
Enfant boudeur à Dagana
Scène au bord du fleuve, Bakel-CC BY-NC Jacques BOUBY
Madonna Toucouleur-CC BY-NC Jacques BOUBY
Vers Cascas-CC BY-NC Jacques BOUBY
Embarquement à Rosso-CC BY-NC Jacques BOUBY
La-Courbe-du-fleuve-CC BY-NC Jacques BOUBY
Passage de troupeaux à Ndioume-CC BY-NC Jacques BOUBY
Traversée du fleuve-CC BY-NC Jacques BOUBY
Ramures, ô rumeurs-CC BY-NC Jacques BOUBY
Convergences, Pirogues monoxyles-CC BY-NC Jacques BOUBY
Filets de pêche au repos
Haratines battant le petit mil, Kaédi
Couchant sur le Fleuve-CC BY-NC Jacques BOUBY
Déchéance ou le dérèglement climatique d’il ya 50 ans
Retour du troupeau-CC BY-NC Jacques BOUBY
Cour de calcul 2-CC BY-NC Jacques BOUBY
Cour de calcul 1-CC BY-NC Jacques BOUBY
Tension de la peau du tambour, Dema ( Bambara)
Palmiers Doum-CC BY-NC Jacques BOUBY
Jeune coquette Sarakollé
Décorations intérieures
Décorations intérieures, Waoundé
Jeunes pileuses
Gawlo (griot) son petit fils et son khalam
Les gestes de la vie sur les rives-CC BY-NC Jacques BOUBY
Haratine et son enfant
Courses de chevaux dans le village de-Kanel-
Constructeur de pirogue-CC BY-NC Jacques BOUBY
Toilette-des-moutons-pour la fête de-Tabasky-CC BY-NC Jacques BOUBY
La porteuse de bois-CC BY-NC Jacques BOUBY
Jeune coquette-CC BY-NC Jacques BOUBY
3 réponses sur “EXPO NOUAKHCHOTT 1984”
Merci Marie Jo pour ta réaction… rapide !
» Merci j’apprécie toujours autant les photos du monde et les commentaires de Jacques.
La douceur des photos dans un monde brutal.
Une évasion, une fenêtre qui fait entrevoir l espoir d un monde meilleur pour tous et qui réconforte un instant.
Merci au photographe voyageur témoin d un monde que la télé ne montre pas.
Marie Josée «
Pour réagir aux propos désabusés du Maître sur le nivellement culturel du regard que banalisent les réseaux, d’abord dire que tous les réseaux automatiques broient la curiosité et l’interêt vers l’autre, forcément remplacés par l’abrutissement et le gavage qu’induit le défilement sans frais et sans effort, conso à l’état pur de type digestion ruminante.
Donc rien à dire là dessus tant c’est implacablement évident.
Mais ces photos ! ces photos ! pour la plupart, force, puissance d’abstraction graphique, dé-réalisation au bénéfice du devenir une oeuvre d’art, et pas une seconde de vieillissement, c’est intact et natif !
et pour être lucide, il y a une part qui vient de notre désir de figer ce que nous avons aimé de ces contrées, augmenté du fait que c’est notre jeune temps. Comme en littérature, décrire et représenter c’est s’approprier le monde tel que nous le voulons. La photo est parfois mimétique, mais souvent performative – un acte qui transforme ce que je vois dans le sens que je lui donne.
Si j’osais , pour avoir vu et revu ces images si pures, j’en mettrais qques une de coté, soit trop symboliques, soit un peu anecdotiques, soit visiblement graphiques (ce qui est pour moi une facilité) mais je vois que je fais mon outrecuidant…
Bref cher Jacques, je ne peux que t’encourager à faire de la photo, puis à en discuter – avec moi !
amitiés admiratives de Riton le Nantais !
Pour redonner son sens au premier paragraphe du commentaire d’Henri, il me paraît opportun de citer mon texte de l’Infolettre n° 5 – envoyée aujourd’hui aux abonnés – sur lequel il réagit.
« Je suis très bouleversé par la résurgence de tous ces moments dans des lieux souvent non (encore ?) instagrammés. De ces Rythmes, de ces Jours que j’ai aimés, promis à l’obsolescence, que reste-t-il aujourd’hui ?
Au delà du pittoresque, je redoute que, comme partout ailleurs, le rouleau compresseur de la modernité, du progrès, de la mondialisation n’ait aujourd’hui laminé toutes ces aspérités, ces différences, ces délicates variations humaines et cette mosaïque des peuples.
Je crains fort que se soit installée l’horrible et dévastatrice monoculture qui, déjà, avait effrayé Levi Strauss !
Et, je ne crois pas avoir entendu que nos hérauts de l’écolo-anxiété se fussent préoccupés de cet autre désastre planétaire : l’aplatissement consciencieux de toutes ces diversités fragiles, devenues insupportables et … déclarées caduques, empoisonnées par « l’air du temps ».
On sait à peu près aujourd’hui à quoi ressemble, une société planétaire universelle et son Réseau : une pulvérisation préalable des existences et des vécus divergents…
Et dire qu’on a pu croire qu’on serait libre quand seraient enfin brisées les chaînes de la Tradition ! Et que je l’ai même doctement enseigné à ces populations ! 🤪
N’empêche ! Toutes ces nuits sur le toit de la Land Rover entre fleuve et étoiles, tous moustiques contenus, quand les villages se taisent ! Privilège extrême ! Sans souci majeur de son bilan carbone … 🤪 »
Merci Marie Jo pour ta réaction… rapide !
» Merci j’apprécie toujours autant les photos du monde et les commentaires de Jacques.
La douceur des photos dans un monde brutal.
Une évasion, une fenêtre qui fait entrevoir l espoir d un monde meilleur pour tous et qui réconforte un instant.
Merci au photographe voyageur témoin d un monde que la télé ne montre pas.
Marie Josée «
Pour réagir aux propos désabusés du Maître sur le nivellement culturel du regard que banalisent les réseaux, d’abord dire que tous les réseaux automatiques broient la curiosité et l’interêt vers l’autre, forcément remplacés par l’abrutissement et le gavage qu’induit le défilement sans frais et sans effort, conso à l’état pur de type digestion ruminante.
Donc rien à dire là dessus tant c’est implacablement évident.
Mais ces photos ! ces photos ! pour la plupart, force, puissance d’abstraction graphique, dé-réalisation au bénéfice du devenir une oeuvre d’art, et pas une seconde de vieillissement, c’est intact et natif !
et pour être lucide, il y a une part qui vient de notre désir de figer ce que nous avons aimé de ces contrées, augmenté du fait que c’est notre jeune temps. Comme en littérature, décrire et représenter c’est s’approprier le monde tel que nous le voulons. La photo est parfois mimétique, mais souvent performative – un acte qui transforme ce que je vois dans le sens que je lui donne.
Si j’osais , pour avoir vu et revu ces images si pures, j’en mettrais qques une de coté, soit trop symboliques, soit un peu anecdotiques, soit visiblement graphiques (ce qui est pour moi une facilité) mais je vois que je fais mon outrecuidant…
Bref cher Jacques, je ne peux que t’encourager à faire de la photo, puis à en discuter – avec moi !
amitiés admiratives de Riton le Nantais !
Pour redonner son sens au premier paragraphe du commentaire d’Henri, il me paraît opportun de citer mon texte de l’Infolettre n° 5 – envoyée aujourd’hui aux abonnés – sur lequel il réagit.
« Je suis très bouleversé par la résurgence de tous ces moments dans des lieux souvent non (encore ?) instagrammés. De ces Rythmes, de ces Jours que j’ai aimés, promis à l’obsolescence, que reste-t-il aujourd’hui ?
Au delà du pittoresque, je redoute que, comme partout ailleurs, le rouleau compresseur de la modernité, du progrès, de la mondialisation n’ait aujourd’hui laminé toutes ces aspérités, ces différences, ces délicates variations humaines et cette mosaïque des peuples.
Je crains fort que se soit installée l’horrible et dévastatrice monoculture qui, déjà, avait effrayé Levi Strauss !
Et, je ne crois pas avoir entendu que nos hérauts de l’écolo-anxiété se fussent préoccupés de cet autre désastre planétaire : l’aplatissement consciencieux de toutes ces diversités fragiles, devenues insupportables et … déclarées caduques, empoisonnées par « l’air du temps ».
On sait à peu près aujourd’hui à quoi ressemble, une société planétaire universelle et son Réseau : une pulvérisation préalable des existences et des vécus divergents…
Et dire qu’on a pu croire qu’on serait libre quand seraient enfin brisées les chaînes de la Tradition ! Et que je l’ai même doctement enseigné à ces populations ! 🤪
N’empêche ! Toutes ces nuits sur le toit de la Land Rover entre fleuve et étoiles, tous moustiques contenus, quand les villages se taisent ! Privilège extrême ! Sans souci majeur de son bilan carbone … 🤪 »