L’AUBRAC dans tous ses états (29)

Aubrac, eau d’aube sur rude ubac… graphique et virginal

Comme annoncé dans la dernière Infolettre, voici la surprise : cette relecture poétique dilatée des images de l’Aubrac enneigé par Henri C.

« J’ai rencontré mon premier JacBouby vers les années 80. C’était au Sénégal.

Il faisait dans les grands formats N&B très graphiques (vérifiez, regardez la photo à l’envers). Et aussi vraiment intemporels (je vérifie, aujourd’hui ses N&B d’Afrique, pas une ride).

À l’époque je faisais du son, j’avais sonorisé son diaporama de 45 mn, une belle folie inventive à nous deux, et un troisième larron !

A intervalles irréguliers je rencontre d’autres JacBouby. Il a mis de la couleur, des plantes, de l’Inde, des sourires, que sais-je, même des Basaltes  sous la neige.

Je lui pardonne car c’est du JacBouby. »

Henri Copin, auteur d’essais,

de poésies, et de légendes de JacBouby

Une réponse sur “L’AUBRAC dans tous ses états (29)”

  1. JacBouby me fait la grâce d’accueilir les quelques légendes qu’il m’a demandées.
    Je n’ai évidemment pas risqué de commentaire descriptif, la photo de JacBouby est suffisament riche et éloquente pour qu’on ne rajoute rien.
    Elle se passerait très bien de mes mots, d’ailleurs.
    Mais leur force d’évocation, qui dépasse la représentation figurative du réel, me renvoie vers d’autres univers, monde du silence, rappels artistiques, souvenirs de lecture , de débats esthético-philosophiques, tentation de scruter au delà du visible, quête de ce qui est caché…
    C’est juste une lecture possible… et sans doute inutile. Mais cela m’a amusé de ne rien dire de la photo même, tout en disant quelque chose à propos de, au sujet de… De quoi ? de l’Aubrac de JacBouby, pardi !

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